
“Story Teller” (Thames & Hudson, 2012) is a photographic delight by Tim Walker full of dreamy, captivating images. Tim Walker is my favourite fashion photographer because, as the name of his book suggests, he creates stories. Too often fashion magazines are filled with unadventurous photoshoots; plain backgrounds, dull clothes – there is no excitement! Walker’s photographs, however, are an indulgence. Surreal, oversized props and beautiful scenery come together to create, or in some cases recreate, a fashion fairytale.
I first came across Walker’s work in the April 2011 issue of British Vogue, where he photographed Agyness Deyn in “White Mischief”. The exquisite shoot was taken in the Namib Desert and I fell in love with the story Walker created and the way in which the photographs took me to an exotic, mysterious world.
All the photographs in this post are of pages from (taken by me) “Story Teller”, and you can often find Walker’s work in fashion magazines.
« Story Teller » (Thames & Hudson, 2012) est une délectation photographique de Tim Walker, il est plein d’images oniriques et captivant. Tim Walker est mon photographe de mode favori parce que, comme le nom de son livre insinue, il crée les histoires. Trop souvent les magazines de mode sont remplis des shoots photos banal ; les fonds quelconques, les vêtements ennuyeux – il n’y a pas de l’excitation ! Les photos de Walker, cependant, sont un plaisir. Les accessoires surréalistes et démesurés et les décors beaux s’unissent pour créer, ou dans certains cas recréer, un conte de fées de mode.
J’ai rencontré par hasard premièrement le travail de Walker dans l’édition d’Avril 2011 de Vogue Britannique, ou il a photographié Agyness Deyn dans « L’Espièglerie Blanche ». Le shoot photo magnifique a été pris dans le désert de Namib and je suis tombée amoureuse de l’histoire que Walker a créé et la manière dont les photos m’ont transporté à la monde exotique et mystérieux.
Toutes les images dans ce post sont de pages (ils sont pris par moi) d’originaires de « Story Teller », et on peut trouver souvent le travail de Walker dans les magazines de mode.

